Après Ufotable et Demon Slayer – La Forteresse de l’Infini, place à Mappa et Chainsaw Man : L’arc de Reze. Le prestigieux studio, qui a notamment développé Jujutsu Kaisen va évidemment être comparé à l’œuvre menée par Tanjiro, de par sa proximité de sortie en salle ainsi que par son attente. En termes de chiffres japonais, Demon Slayer est au-dessus. Cependant, les entrées ne font pas tout…

Ryū Nakayama reste fidèle à son hommage au cinéma qu’il a déjà présenté à travers le célèbre opening « Kick Back » de l’animé, faisant référence à Pulp Fiction, Reservoir Dogs

Dans l’Arc de Reze, l’ambiance sera très différente de l’ensemble du métrage, notamment basé sur l’action. Le premier acte présentera le date rêvé par Denji avec Makima, proposant à ce dernier de voir une dizaine de films, aux genres différents, se soldant par des avis plutôt mitigés. Denji, qui a du mal à résister à son attirance envers la gente féminine, va faire la connaissance de Reze, avec qui une histoire va se développer. Seulement le cœur de Denji ne sera pas convoité de la façon dont il le voudrait.

UNE ANIMATION DIGNE DE MAPPA

Tout comme La Forteresse de l’Infini, L’Arc de Reze ne va pas se reposer sur un scénario très travaillé, mais sur ce que le public attend tous : l’animation.

Qu’est-ce que l’animation vaudra surtout après celle de Demon Slayer ?

L’animation de Chainsaw Man est grandiose, mélangeant couleurs, textures et explosions, qui seront la particularité du mode de combat de l’antagoniste, amorçant les très bons effets sonores par ses détonations à travers un décor plus réaliste que celui de Demon Slayer.

En effet, tout comme dans une autre certaine grande œuvre de Mappa, Tokyo sera saccagée, se terminant par une résolution qui fera sens par rapport à l’écriture du personnage de Denji. Il est de nature je-m’en-foutiste, ne se prenant pas la tête, optant donc pour ses « sentiments » plutôt que pour la justice.